Black to détroit, un portrait géographique de la techno

L’Eveha – Etude et valorisation archéologique, accompagné de la DRAC Normandie et de l’équipe de l’espace muséal du Nouvel Hôpital de Navarre vous présentent l’opération archéologique ayant eu lieu sur l’ancien cimetière de l’hôpital, aussi connu sous le nom de « Cimetière des fous ».

Pendant la Seconde Guerre mondiale deux Allemands, membres de l’organisation Todt, arrivent à Vernon pour vendre à un chiffonnier de la ville un volumineux trésor monétaire enfoui sous l’empereur romain Probus (278 ap. J. - C.). L’archéologue érudit qui, bien après la guerre, en fit l’analyse avait émis l’hypothèse que ce trésor proviendrait du Mur de l’Atlantique, sur les côtes de la Manche.

Venez écouter Alia Benabdellah-Pickel, titulaire d’un master de communication culturelle, et spécialiste de l’étude des musiques noires américaines. L'export de la musique techno à l'orée des années 1990, de son lieu de naissance à Détroit à son plus grand espace de diffusion en Europe, s'est fait dans un processus de blanchiment du genre qui perdure aujourd'hui.

La rencontre entre danseurs Krump et adolescents, logés dans un refuge d'urgence pour mineurs à risque, nous emmène entre réalité et fiction. Il s'agit de capturer les tremblements, l'énergie ardente des corps qui dansent pour révéler la fragilité de cet âge où tout est possible.